En Suisse, on peut désormais divorcer sans se faire du mal : « amicalement » !

Divorcer n’est jamais simple. Les couples ont en général une longue histoire de couple derrière eux, de bons souvenirs, des habitudes, des relations communes… ainsi que, bien souvent aussi, des regrets, des griefs… Sans oublier les enfants ! Comment vont-ils vivre la chose ? Quel impact pour leur avenir ?…

En Suisse on ne peut plus brandir de « faute conjugale » pour divorcer !

Source : https://divorce.ch/

Jusqu’en l’an 2000, la législation suisse cherchait encore « la faute à qui ? ». La notion de « faute conjugale » – les « tu m’as trompé(e) » et autres « tu es parti(e) de la maison » – faisait partie de la « bagarre » juridique et « morale » qu’était en général un divorce. Résultat, menaces et invectives venaient mettre de l’huile sur le feu. Aujourd’hui, pour 90 % des divorces (si ce n’est plus), ce n’est plus le cas en Suisse. Pourquoi ? Parce que le législateur a expurgé les textes de cette notion de «faute conjugale ». En conséquence de quoi, et quelle que soit la procédure choisie, aucun des deux époux ne peut espérer « tirer la couverture à lui » à partir de tels motifs ! Et tout le monde y gagne, notamment les enfants !

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Source : www.divorce.ch

S’accorder ensemble sur l’organisation post-divorce et c’est tout !

C’est encore plus vrai pour les époux optant pour une procédure par « consentement mutuel ». En ce cas, la seule chose qu’ils ont à faire est de remplir correctement la convention de divorce suisse qu’ils soumettront au juge. Ils peuvent même le faire sans avocat, ou en s’appuyant sur l’équipe en ligne de :  https://divorce.ch/ !